Pour les sénats français, le jeu vidéo n’est pas un jeu à risque qui peut provoquer des problèmes majeurs aux joueurs et à son entourage. C’est pour cette raison que lors de la sortie du nouveau projet de loi numérique et addiction, ce dernier a été exempté et n’est pas soumis au nouveau projet de loi pour le jeu de hasard.
Cette loi a pour but de protéger les joueurs des jeux numériques contre l’addiction ou la dépendance au jeu. L’opinion des membres s’est diversifiée, car une partie a été pour cette nouvelle loi et une partie a été contre. Pour les autres, le jeu vidéo est au même titre que le jeu de hasard qui est source de dépendance, et qu’il peut entraîner des maladies et des problèmes au cas où le joueur s’habitue. En plus, le risque d’addiction à ce jeu est beaucoup plus élevé si nous faisons des études beaucoup plus approfondies. Du fait que ce sont les enfants et les jeunes qui y jouent le plus.
Une étude effectuée en France a même démontré que le chiffre d’affaire produit par le jeu vidéo est beaucoup plus important que le chiffre d’affaire produit par la musique et la culture, ainsi ne pas le mettre dans le projet de loi est donc un manque à gagner important pour l’Etat.
Après un long débat et une confrontation, les membres ont donc convenu de mettre en place certaines règles et principes afin de les rectifier. Il est donc convenu que pour jouer au jeu vidéo, le joueur doit être majeur, chaque jeu doit être adapté à un individu dans le cas contraire, c’est mieux de lui conseiller de changer de jeu, l’Etat va financer l’achat des matériaux nécessaires pour éviter et traiter l’addiction au jeu. Enfin, un amendement est établi pour régir les organisateurs de compétitions de jeux vidéo.
A Chaque compétition, les organisateurs doivent demander une autorisation venant du ministère de la jeunesse. Ce dernier doit prouver que la compétition qu’il organise ne comporte pas des tentations et des risques pour les mineurs et ne va pas rendre les joueurs accros.